En commémoration des cinquante années de service dévoué de Catharose de Petri, cette série de sept allocutions met en lumière l'amour profond qu'elle portait aux Cathares — la précédente Fraternité d'âmes libérées. Le mouvement cathare, qui était si actif et si important au Moyen-Âge dans toute la région d'Occitanie, en Europe du Sud, était considéré comme possédant les trésors spirituels les plus élevés. Dans ce livre, nous nous rapprochons de la véritable nature de ce « trésor » et de la raison pour laquelle il est considéré comme le plus grand de tous les trésors — au-delà de toute valeur.

Nombreux sont ceux qui ont cherché ce trésor, croyant qu'il était fait de pierres et de métaux précieux, caché et enterré dans un endroit éloigné et secret. Ils l'ont cherché partout, dans les coins les plus reculés du monde, mais ils sont toujours revenus bredouilles. Ils n'ont pas compris qu'il s'agit d'un trésor qui n'est pas de ce monde, mais qui ne peut être trouvé que dans le cœur ardent de l'homme ; il est « plus proche que les mains et les pieds ».

C'est un trésor accordé à la nouvelle âme-Esprit. C'est un « trésor immatériel, le plus sublime, le plus glorieux que puisse recevoir un être qui renaît » rené. C'est la naissance à la Vie Nouvelle, à la Gloire, à l'Harmonie et à l'Amour impérissables de la Nature Universelle ; la naissance à l'Unité et à la Liberté véritables de l'Absolu. Cette personne détient les clés de la vie éternelle, que personne ne peut lui enlever qui ne peut être dérobée.

Tel était le véritable trésor des Cathares, un trésor recherché par tous ceux qui aspiraient à l’union avec l'Esprit et qui, dans leur quête, avaient consacré leur vie au service des autres, dans un oubli total d'eux-mêmes. Seuls ceux qui n'ont pas cherché ce trésor pour eux-mêmes ont été jugés dignes de le recevoir.